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Vos présentations commerciales au bout des doigts

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1. Les écrans tactiles envahissent le marché des portables

Avec l'arrivée des tablettes, le bureau mobile a changé de visage. Ces terminaux légers (moins de 1 kg), peu encombrants et très maniables ont de quoi séduire des commerciaux souvent sur le terrain. Leur écran tactile facilite les présentations et le lancement de diverses applications. En mai 2010, la sortie de l'iPad en France a fait grand bruit. Après le temps des critiques est venu celui des louanges: la tablette d Apple devrait révolutionner l'univers de la mobilité! Il faut avouer que l'objet ne manque pas de charme: grâce à son grand écran multitouch, un simple effleurement du doigt permet de parcourir ses e-mails ou de visionner des photos. L'écran (IPS rétroéclairé par led) de 9,7 pouces apporte un confort indéniable pour la lecture (documents, magazines...). L'iPad (à partir de 417,22 Euros HT pour le modèle wi-fi 16 Go) est doté d'un clavier virtuel qui s'affiche à la demande pour rédiger des emails, saisir ses requêtes sur Internet, noter ses rendez-vous, modifier ses contacts... La tablette embarque aussi les applications de productivité iWork d'Apple (Keynote, Pages et Numbers revues et corrigées pour l'occasion) afin de permettre aux utilisateurs professionnels de créer des présentations, documents et feuilles de calcul. Les grincheux déploreront le clavier virtuel, l'absence de port USB, etc. Pas de quoi stopper le phénomène iPad. Selon une étude réalisée par l'institut d'études GfK début 2010 sur la notoriété du produit, il devrait se vendre entre 400 000 et 450 000 unités en France et 4 millions dans le monde avant la fin de l'année.

D'autres constructeurs concurrencent la marque à la pomme. Fusion Garage a ainsi lancé sa tablette tactile JooJoo sur le marché européen au printemps 2010 (300 Euros HT). Conçue pour les personnes qui passent beaucoup de temps sur le Web, cette tablette offre un bel écran tactile de 12,1 pouces, un clavier virtuel qui s'affiche à la demande et dispose du fameux port USB qui fait défaut à l'iPad.

L'arrivée des tablettes PC tactiles

« De plus en plus de commerciaux souhaitent disposer d'un terminal léger, affichant une bonne capacité d'autonomie, et d'un écran touch qui est plus convivial lors d'une démonstration en face-à-face », explique Fabrice Raoult, directeur général de Packard Bell France. Avec son EasyNote Butterfly Touch (417,22 Euros HT), Packard se positionne sur ce marché. Le terminal dispose d'un écran tactile multipoint (11,6 pouces) rotatif à 180° (convertible en tablette PC), d'une batterie garantissant une autonomie de 8 heures (soit une journée de travail) et d'un lecteur DVD intégré (pour des présentation commerciales). Si la marque est davantage orientée grand public (Packard ne dispose pas d'un SAV dédié aux entreprises), ce modèle répond aux besoins des collaborateurs nomades, car il est doté de toutes les fonctionnalités fondamentales.

De son côté, Asus a sorti, début 2010, un Netbook doté d'un écran tactile. Convertible en tablette PC, l'Eee PC T91 MT qui dispose d'un écran de 8,9 pouces et d'un disque dur de 32 Go permet aux utilisateurs un réel confort de travail, tout en disposant d'un outil nomade. Son prix: autour de 450 Euros HT. Sorti en juillet 2010, l'EliteBook 2740 P d'HP (1 690 Euros HT) joue dans la cour des grands. Grande nouveauté, il intègre lui aussi un écran multitouch convertible en tablette. Son châssis semi-durci (malgré ses 1,7 kg) lui confère une plus grande durabilité, y compris en cas de maltraitance! « Nos clients nous demandent de les aider à baisser leurs coûts informatiques. Bien qu'un peu plus cher que les autres, ce produit y contribue, car ses frais de maintenance sont plus faibles et le risque de casse réduit », glisse Yann Guérin, chef de produit PC portables professionnels et grands comptes d'HP Un module 3G est installé dans le châssis. « C'est un véritable plus, car la réception est de meilleure qualité et l'utilisateur ne prend plus le risque de perdre sa clé 3G ou de se la faire voler », ajoute Yann Guérin.

Des PC portables de petite taille

Les constructeurs lancent sur le marché des terminaux de plus en plus petits, à l'image de l'ultraportable Vaio P11S1E de Sony (668 Euros HT). Avec un poids d'un peu plus de 600 grammes, ce modèle est plus petit qu'un ordinateur portable et plus évolué qu'un smartphone. Il embarque un GPS, une boussole numérique et un accéléromètre qui permet de faire défiler les photos ou les pages d'un PDF en le secouant doucement. De son côté, comme à son habitude, Panasonic propose un UMPC (pour ultramobile PC) pour les collaborateurs travaillant à l'extérieur. Le Toughbook CF-U1 (à partir de 2 090 Euros HT), doté du processeur Intel Atom, est sans doute l'UMPC le plus robuste du marché. Son écran ne craint pas l'ensoleillement.

Avec les ultraportables, les écrans passent de 9 ou 10 pouces à plus de 11 pouces pour un meilleur confort d'utilisation. Dans cette gamme, Lenovo propose le ThinkPad X100e pesant 1,47 kg et doté d'un écran 11,6 pouces touch multipoint (410 Euros HT). « Ce modèle se positionne entre les netbooks et les PC ultraportables, il embarque Windows Professionnel, affiche une autonomie de 5 heures, dispose de plusieurs ports USB et répond donc aux besoins des collaborateurs nomades de l'entreprise », indique Nicolas Bois, chef de produit périphériques et logiciel de Lenovo. Chez Acer, la gamme Timeline X Pro, entièrement renouvelée au printemps, démarre avec un ultraportable de 11,6 pouces (moins de 2 kg) qui n'embarque pas de lecteur optique, mais propose un 13,3 pouces (2,4 kg) avec lecteur de DVD.

De gauche à droite: iPad et Fusion Garage JooJoo.

@ APPLE

De gauche à droite: iPad et Fusion Garage JooJoo.

Le Panasonic Toughbook.

Le Panasonic Toughbook.

Des batteries d'accessoires

Vous travaillez sur des données confidentielles dans le train ou en avion et vous voulez protéger vos informations des regards indiscrets? Plusieurs fabricants (3M et HP, notamment) ont trouvé la parade: un filtre de confidentialité qui se pose sur l'écran. L'utilisateur voit parfaitement, tandis que la personne assise à ses côtés ne voit qu'un écran noir (entre 50 et 60 Euros HT). Autre accessoire servant la mobilité, l'adaptateur Ultraslim AC/DC Combo de Lenovo (110 Euros HT) qui permet de brancher sur secteur ou allume-cigare deux appareils et de recharger ainsi simultanément un ordinateur portable et un smartphone, par exemple. Enfin, tous les collaborateurs nomades gardent un oeil sur leur batterie. Sachez que HP dote son EliteBook 2740 P d'une batterie HP Long Life garantie 3 ans (pour 80 % de sa capacité initiale) et a commercialisé en juin 201 0 un PC portable 14 pouces (le HP EliteBook 8440 P) avec une batterie lui permettant d'être autonome pendant 24 heures.

2. Les smartphones embarquent des applications bureautiques

Les smartphones sont connus pour leurs fonctionnalités e-mail, gestion des agendas, contacts... Aujourd'hui, s'ils percent dans les entreprises, c'est aussi parce qu'ils autorisent les accès à l'intra-annuaire des structures et qu'il est possible d'y implanter des applications «métiers». Nous sommes encore au début de l'ère des smartphones, mais ils devraient remplacer petit à petit les flottes de téléphones mobiles. Les forces de vente devraient être les premières concernées, car c'est peut être l'outil idéal pour gérer ses rendez-vous commerciaux à distance, répondre à des demandes clients, etc. « Dans les entreprises, nous constatons que BlackBerry reste dominant, mais que l'iPhone commence à percer car certains cadres insistent pour en obtenir un », témoigne un porte-parole de Bouygues Telecom. Apple fait progresser son produit désormais emblématique avec la version 4, sortie mi-juin en France. Outre le design verre et acier inoxydable, les commerciaux apprécieront les nouvelles fonctionnalités du terminal et notamment FaceTime pour communiquer en visiophonie, l'écran «Retina» avec une résolution améliorée, l'appareil photo 5 mégapixels avec flash led intégré (de quoi prendre des photos de relevés de linéaires, d'animations commerciales...), la possibilité d'enregistrer des vidéos au format HD. L'appareil est livré avec iOS 4, la nouvelle version du système d'exploitation qui inclut le multitâche et un logiciel e-mail amélioré, pour une meilleure prise en charge des besoins des entreprises.

De vrais bureaux nomades

Dernier-né de chez RIM (Research In Motion), le BlackBerry Bold 9700 (à partir de 110 Euros HT chez les trois opérateurs avec un forfait associé), sorti fin 2009, embarque quelques caractéristiques intéressantes comme la compatibilité avec les réseaux 3G HSPDA dans le monde entier, un processeur l de nouvelle génération (624 MHz), I 256 Mo de mémoire flash, un GPS, I'une connectique wi-fi... Le terminal est équipé d'un trackpad tactile favorisant une navigation intuitive et d'un clavier Azerty à barrettes bien reconnaissables. Le système d'exploitation BlackBerry OS 5.0 apporte aux utilisateurs des améliorations dans la gestion des e-mails et du calendrier, ainsi qu'une navigation plus agréable. Egalement disponible depuis le troisième trimestre 2009, le TG01 Windows Phone de Toshiba (450 Euros HT) offre une navigation ludique et interactive et un accès rapide à toutes les applications et fonctionnalités embarquées grâce Windows Mobile 6.5 (outils de bureau, accès aux réseaux sociaux), mais n'embarque qu'un appareil photo de 3,2 mégapixels. Grâce à l'application gratuite Microsoft My Phone, cet appareil dispose d'une protection des données par sauvegarde.

Avec Nokia, les smartphones font un bond en avant en ce qui concerne la photo avec des appareils de précision jusqu'à 12 mégapixels (Nokia N8, 383 Euros HT). Fin 2009, le constructeur a mis sur le marché son nouveau E72 (333 Euros HT), qui reprend les caractéristiques du E71 en les améliorant (notamment pour la messagerie et les applications bureautiques).

Chez Sony, l'Android Xperia X10 se positionne comme un véritable concurrent de l'iPhone, avec « la même philosophie qu'un appareil grand public qui dérive vers des usages professionnels », explique Laurent La Rocca, chef de produit Sony. Son OS est suffisamment ouvert pour recevoir des applications professionnelles, comme des fonctionnalités de relevés de prix ou des interfaces avec la gestion du portefeuille clients. En standard, Sony propose une interface e-mail qui se connecte avec le serveur de l'entreprise (sous Windows ou Linux) ou avec un serveur ex-change e-mail. « L'email est devenu le principal canal de communication dans les entreprises, il est donc important d'intégrer un client e-mail dans le smartphone », précise Laurent La Rocca. Autre fonctionnalité particulièrement judicieuse pour les collaborateurs mobiles: la possibilité de lire les fichiers attachés. Xperia X1 0 embarque, en effet, la suite Office. En déplacement, le commercial peut donc relire sa présentation en PowerPoint. L'écran de 4 pouces apporte le confort nécessaire au mode lecture. Deux versions plus compactes complètent la sortie de ce smartphone: X10 mini (260 Euros HT) et X 10 mini pro, doté d'un clavier azerty coulissant (280 Euros HT). Samsung a enrichi sa gamme en commercialisant de nouveaux modèles, avec les smartphones Samsung Wave (OS Bada, écran 3,3 pouces, 335 Euros HT) sorti en juin et Samsung Galaxy S (OS Android, écran 4 pouces, 417 Euros HT) commercialisé en juillet. Ces modèles intègrent les premiers écrans Super Amoled, technologie «maison» qui améliore la luminosité et le taux de contraste pour une consommation énergétique réduite par rapport à celle d'un écran TFT. Parmi ses atouts, l'intégration d'une fonctionnalité Social Hub (messagerie unifiée) est à noter. Les services e-mails, de messagerie instantanée et de réseaux sociaux des principaux acteurs du marché sont réunis dans une seule boîte de réception unifiée. Mieux, les données sont synchronisées avec le répertoire et le calendrier, ce qui est pratique pour la mise à jour des contacts professionnels et des rendez-vous. Le modèle Galaxy S offre un accès aux services Google (avec notamment les applications de géolocalisation comme My Location, Latitude ou encore Street View pour s'orienter ou obtenir un itinéraire) et à la boutique d'applications Android Market. Multimédia, il est bien adapté à la lecture de contenu (document bureautique) et vidéo.

Fragiles, les smartphones sont parfois mal adaptés aux contraintes des commerciaux itinérants. En réponse à ce besoin de robustesse, Motorola propose un assistant numérique professionnel (EDA) MC75 3G à la coque renforcée (prix non communiqué), plus résistant et plus étanche. L'appareil embarque aussi des outils professionnels comme un lecteur de codes à barres 1D et 2D, bien pratique pour les relevés de prix.

3. Vidéoprojecteurs ultraportables: l'arrivée des poids plume

Les picoprojecteurs vont-ils révolutionner le secteur des vidéoprojecteurs portables? Les avis sont partagés. Tous les professionnels s'accordent sur un point: ces petits vidéoprojecteurs ont des progrès à faire en termes de luminosité (exprimée en lumens). Il faut dire que ces appareils, taillés au format de téléphone mobile et ne pesant guère que quelques centaines de grammes, sont attrayants, car ils se glissent dans la poche d'une veste. Mieux: bénéficiant de la technologie led, cette nouvelle génération de vidéoprojecteurs fonctionne plus longtemps, « près de 10 000 heures ou 5 ans d'utilisation normale », annonce Jérémy Werner, chef de produits accessoires chez HP. Commercialisés depuis environ 18 mois, ces produits ont déjà évolué par rapport aux premières éditions, même si cette technologie n'est pas encore mature.

3M propose par exemple le MPro 150 (325 Euros HT), 150 lumens. « Il est capable de stocker les applications bureautiques. Le commercial n'a donc plus besoin d'emporter son ordinateur portable pour montrer des images, il lui suffit de les enregistrer sur le pico pour les diffuser en clientèle », explique Olivier Ruiz, directeur marketing du département systèmes visuels & optiques 3M. La projection s'effectue à un mètre de distance maximum dans des conditions normales d'éclairage d'un bureau. Après un premier essai avec le K10 (100 lumens), Acer commercialise le pico K11 (280 Euros HT) aux mensurations idéales (12,2 x 11,6 cm), pesant à peine plus de 500 grammes et affichant cette fois 200 lumens! « Evidemment, il ne doit pas être utilisé dans une pièce ultrabrillante, mais dans un environnement un peu sombre, cet appareil permet de faire une présentation en bénéficiant d'une image correcte », admet Angelo d'Ambrosio, directeur marketing d'Acer. LG sort en juillet sa quatrième génération de pico avec le HX300 (500 EurosHT): résolution XGA, luminosité 300 lumens, l'outil devrait séduire les commerciaux qui peuvent projeter leurs documents PowerPoint, Excel, etc. Plus performant, ce vidéoprojecteur est aussi plus lourd - 850 grammes - et autorise un recul maximum de trois à quatre mètres. Mathieu Corradini, chef de produit vidéoprojecteur de LG l'annonce sans complexe « les picos vont progresser rapidement, d'ici la fin de l'année, nous devrions sortir des modèles à 400 voire 500 lumens ». En plus de la luminosité, deux autres caractéristiques devraient évoluer: selon Thierry Millet, senior vice- président d'Optoma en charge des ventes EMEA, « le niveau de batterie, qui se limite aujourd'hui à environ deux heures d'autonomie, et la résolution » . D'ici là, leur utilisation se résume à des présentations en face-à-face ou devant une poignée d'interlocuteurs.

Des modèles ultraportables plus performants

Pour Joël Roman, responsable marketing de Sagemcom, quatre critères régissent le choix de vidéoprojecteurs portables professionnels: « le poids, la puissance (comprise de préférence entre 1 600 et 2 000 lumens pour une projection dans un bureau ou une petite salle de réunion), la qualité de la résolution (XGA pour la restitution de la qualité des visuels conçus via des applications bureautiques à partir d'un ordinateur) et le niveau sonore (inférieur à 21 dB) ». Dans cette catégorie, Epson propose sa série EB (1720), avec des modèles qui pèsent entre 1,7 et 1,8 kg pour des luminosités oscillant entre 1 500 et 3 000 lumens (comptez de 855 à 2 015 Euros HT). Ces vidéoprojecteurs connectés à une clé USB évitent à leur utilisateur de déplacer un ordinateur lors de la présentation commerciale. Nec Display Solutions dédie les NP 43 (2 500 lumens, 680 Euros HT) et NP 64 (3 000 lumens, 1 028 Euros HT) qui pèsent 1,7 kg, aux utilisateurs nomades. « Sur ces gammes, les réglages sont automatisés, indique Marc Gastel, chef de produit vidéoprojecteur bureautique de Nec Display Solutions. La correction trapézoïdale ne nécessite aucune manipulation de la part du commercial, qui gagne ainsi du temps et peut démarrer plus rapidement sa présentation, sans perdre l'attention de son auditoire.» Un système de refroidissement breveté Nec permet une extinction instantanée de l'appareil. L'utilisateur peut donc le remballer dans sa sacoche dès la fin de la réunion. Le modèle NP64 est équipé d'un port USB permettant de brancher et débrancher facilement une clé contenant les slides PowerPoint et les vidéos.

Par ailleurs, Casio annonce la sortie d'une gamme équipée d'une source lumineuse hybride led et laser, offrant une luminosité de 2 000 à 2 500 lumens, sans lampe à mercure (XJ-A, commercialisée de 799 à 1 299 Euros HT selon les modèles). « Sans lampe, pas de consommables, pas de maintenance », souligne Xavier de la Croix, directeur marketing de Casio, avant d'ajouter « ce vidéoprojecteur est plus écologique et plus économique ». Fonctionnant sur secteur ou en wi-fi, ces matériels permettent de projeter des images en résolution XGA entre 1,60 et 3,5 mètres, devant un auditoire jusqu'à une cinquantaine de personnes. Certains modèles intègrent un port USB, tous bénéficient d'une fonction Direct power on et off pour un démarrage rapide en huit secondes et un arrêt immédiat adapté aux rythmes effrénés des rendez-vous commerciaux.

Enfin, pour enrichir vos présentations, Nec Display développe des vidéoprojecteurs 3D (NP115, NP210 et NP216 respectivement commercialisés 360, 479 et 514 Euros HT) et vendus, depuis juin 2010, avec un kit 3D Starter (comprenant notamment les lunettes, du contenu et le logiciel 3D pour 119 Euros HT). Nec Display Solutions est partenaire de plusieurs fournisseurs de contenu dans les secteurs de l'éducation, de la simulation, de l'ingénierie et du design. Dotés de la technologie DLP Link, ces outils permettent de projeter des images 3D à l'aide d'un seul appareil et de lunettes «actives». Leur principal défaut est de ne pas lire les fichiers d'environnement Windows.

 
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Véronique Méot

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