Travail : priorité aux bons... et aux mauvais !
Les managers semblent ne pas accorder beaucoup d'importance aux collaborateurs "moyens" au profit des moins bons, qui réquisitionnent davantage l'attention de leur supérieur.
Je m'abonneEn tant que manager, vous pensez à féliciter vos meilleurs éléments, vous prenez également du temps pour booster les moins performants... Mais que faites-vous des intermédiaires ? Pas grand-chose si l'on en croit une récente étude américaine traitée par le blog 'At Work' du Wall Street Journal.
Délaissés, ces derniers se sentent souvent inconsidérés et stressés tandis que les " employés-boulets ", ceux qui sont les moins bons, se voient confier des objectifs souvent plus faciles. Ces collaborateurs peu performants, dont peu d'entre eux ont conscience de leur médiocrité, sont 42% à déclarer être dévoués et heureux au travail. Autrement dit, dans la vie professionnelle, mieux vaut être bon...ou carrément mauvais.