Recherche
Magazine Action Commerciale
S'abonner à la newsletter S'abonner au magazine

Vers la fin des messages vocaux et de la prospection téléphonique ?

Publié par Laure Trehorel le - mis à jour à
Vers la fin des messages vocaux et de la prospection téléphonique ?

Vous relancez vos clients en laissant un message sur leur répondeur et démarchez vos prospect par téléphone ? Il est peut-être bientôt temps de mettre fin à ces pratiques. Explications.

Je m'abonne
  • Imprimer

Près d'un tiers des messages vocaux resteraient non-écoutés par leur destinataire pendant trois jours ou plus. Cette donnée, issue d'une étude de uReach Technologies, spécialisé dans les solutions de convergence de messages, remet en cause leur efficacité, en particulier dans le milieu professionnel. Ainsi, pour joindre clients, collaborateurs ou partenaires, mieux vaut s'en tenir, si le simple appel n'aboutit pas, à d'autres formats de messages, comme l'email, le tchat, le réseau social, les textos... Bref, tout sauf le message vocal !

Si cette tendance relève davantage d'une évolution générationnelle plus que technologique (91% des moins de 30 ans répondent à un texto en moins d'une heure selon Opinion Research Corporation), certaines entreprises n'hésitent pas à abandonner tout bonnement les boîtes vocales. C'est notamment le cas du siège social de Coca-Cola, qui a complètement délaissé le concept. Ainsi, lorsqu'un client tente de joindre un commercial de chez Coca sans succès, il est invité à renouveler son appel ultérieurement ou à utiliser un autre moyen de communication. En plus d'avoir réalisé des économies en supprimant ce service, le géant de la boisson affirme avoir fait gagner ses collaborateurs en productivité.

Mais, plus que le message vocal, et si c'était le téléphone fixe dans son intégralité qu'il fallait lâcher ? Ce qui signerait notamment la fin de la prospection téléphonique. Une étude des centres d'affaires Regus montre en effet que 19% de gens perçoivent les appels téléphoniques entrants comme une interruption dans leur travail. Et vous, seriez-vous prêt à raccrocher complètement le combiné ?

Source : Canadian Business


 
Je m'abonne

NEWSLETTER | Abonnez-vous pour recevoir nos meilleurs articles

La rédaction vous recommande

Retour haut de page